L’été, les vacances, des moments qui sont faits pour profiter de ces belles journées, se détendre, bouquiner, faire la sieste après un délicieux déjeuner. 

La sieste, un luxe dans notre monde d’adulte alors qu’elle rythme la vie de nos bambins jusqu’à la maternelle. 

Et comme à la saison estivale nous aimons nous plonger dans un bouquin chez Satan, je vous propose de découvrir T’CHOUPI FAIT LA SIESTE. Je tiens à remercier les diablotins Esteban, Alba et Opale pour cette découverte. 

Dès la première page, nous sommes plongés au cœur de l’action. C’est l’heure de faire la sieste pour T’choupi et ses camarades de classe. La maîtresse les conduit au dortoir. Chaque enfant a son doudou et T’choupi en profite pour crâner en s’écriant qu’il sait enlever ses chaussures. C’est très bien T’choupi mais ce n’est pas le sujet, ne nous égarons pas. 

Tout le monde est couché mais … et oui il y a un « mais ». La tension monte d’un cran. Devinez qui n’a pas sommeil ? T’choupi et l’autre lascar nommé Pilou font de la résistance. Ils commencent à imiter un fantôme à l’aide de leur couette pour amuser la galerie. Mais tout ce cirque saoule Lalou, la rabat-joie de la bande, qui chouine et les menace de les balancer à la maîtresse. 

La maîtresse a tout entendu et intervient. Le suspense m’étreint, je me dépêche de tourner la page. Elle ordonne à Pilou de se calmer et lui assène son meilleur mantra : Faut penser à de belles choses et fermer les yeux. L’industrie pharmaceutique n’a qu’à bien se tenir, nous avons enfin le remède à nos insomnies. Bon, ce mantra n’a d’effet que sur Pilou car T’choupi, le Che Guevara du dortoir, la terreur des bacs à sable, ne va pas se laisser embobiner aussi facilement « Gnagnagna Pilou ronfle trop fort, je ne peux pas dormir ». Ben voyons, à d’autres T’choupi, nous avons bien compris que tu n’avais pas sommeil. Alors écoutes moi bien bonhomme, fais comme moi, prends un bouquin aussi passionnant que celui dont tu es le héros et l’ennui cèdera sa place au sommeil …ZZzzzz…

Chronique qui sent le vécu écrite par Elodie